L’Animal qui Court est un festival de courts-métrages récompensant des films animaliers, nature et environnement. Ce festival aura lieu tous les ans à Bordeaux. Il s’ancre dans l'ambition de l'association de promouvoir et faire découvrir le cinéma animalier à un large public, à des fins éducatives et de divertissement.
Compte tenu de la pandémie actuelle de la Covid-19, ainsi que des incertitudes qui l’accompagnent, la première édition du festival se fera en ligne.
C'est un festival qui aspire à sensibiliser à la cause environnementale, à travers la projection d’œuvres cinématographiques courtes, originales et créatives.
Porté par l’association Les Films du Pangolin, le festival aura lieu chaque année en début de saison automnale. Il accueillera et sélectionnera des films, des documentaires ou des films d’animation de moins de 26 minutes, dont la thématique sera centrée sur l’animalier, la nature ou l’environnement.
Nous avons choisi le format court, car les formats classiques du film animalier, moyens et longs métrages, ont tendance à s’adresser à un public d’amateurs du genre. La créativité et l’originalité du court-métrage animalier, nature, permet d’intéresser un public plus large. Ce qui est une plus value dans l’éducation et la sensibilisation aux problèmes environnementaux.
La marraine du festival
Fakhrya Fakhry n’est pas productrice ordinaire. Elle est une do-er* dans l’âme, découvreuse de talents,…une entrepreneure créative, à la fois prolifique soutien des politiques de financement et collaboratrice appliquée, elle participe tout au long de sa carrière, à l’élaboration de projets naissants ambitieux et de talent, tel qu’au sein de Décia Films où elle fit ses classes, pour « Le sel de la Terre » (sacré meilleur Documentaire Un certain regard Cannes 2014 et César 2015), au sein de Free Dolphin Productions, ou encore avec De l’autre côté du périph’ oeuvrant avec ses collègues à « L’Ascension ». Ayant à coeur plus récemment, de participer à des premiers projets comme au sein de Bien ou Bien Productions avec le 1er long métrage « Mignonnes ».
Le mot de la marraine
"En soutenant le Festival l'Animal qui court, Jom souhaite participer au dialogue en faveur de l'environnement et permettre ainsi un nouveau regard des peuples sur eux-mêmes, un carrefour des visions afin de « redynamiser la manière dont on se pense dans le monde globalisé », dont les peuples se lisent à travers l’histoire et à la faveur des problématiques globales.
Un appel à ajuster son regard,…l’assainir parfois, faire de voyages cinématographiques, des fenêtres bienveillantes sur les régions, les cités, les mégapoles du monde,…sur les peuples, les différentes constructions et organisations des nations,…sur les beautés de
notre nature, de la Terre; amener à l’éveil, tenter aussi de s’attarder sur ce qui lie à l’autre et complète,…ce qui enrichie."
Les prix
Prix du public
Il sera décerné par un vote du public qui se fera par un vote en ligne pendant le festival.
Prix de l'image
Il sera remis par un jury de professionnels du cinéma, ou de naturalistes, à une oeuvre pour la qualité technique de ses images ou de ses animations.
Prix du son
Il récompensera la qualité du mixage et/ou de la bande originale du film, il sera aussi attribué par le jury.
Marc MORTELMANS
REALISATEUR, JOURNALISTE ET NATURALISTE
Journaliste de presse écrite et de télé, Marc a collaboré avec des magazines comme VSD, ça m'intéresse, Terre sauvage, Meine Woche, Mi Semanal... Il a également travaillé au sein de plusieurs chaînes de télévision comme Arte, Ushauia TV, France 5...
Cet ancien guide d'expéditions de montagne et professeur de plongée, est un passionné de biodiversité, ce qui l'a poussé au début du premier confinement à créer le podcast Baleine sous Gravillon.
Dans ce podcast qu'il anime, il sensibilise ses auditeurs sur la nature et les enjeux environnementaux auxquels nous faisons face.
Le jury
Léo DOBOKA
REALISATEUR, COMPOSITEUR ET INGENIEUR DU SON
Tout au long de sa carrière et de sa vie, Léo a été guidé par le voyage et la musique. C'est dans la nature et les sons qu'elle offre que Léo s'inspire pour ses créations.
Il travaille essentiellement sur des documentaires animaliers en tant que compositeur ou ingénieur du son. Des jungles du Costa Rica (« Au pays de l'or vert ») aux montagnes roumaines (« Echilibru, dans la peau de l'ours ») en passant par les rivières du Yukon (« S'abandonner au sauvage »), Léo extirpe la moelle sonore de ces environnements pour mélanger les rythmes, les traditions et les mélodies avec le son organique des éléments, des chants d'oiseaux et de la musique électronique moderne. Le résultat est un voyage rêveur, profond et mélodique, qui reflète l'univers de Léo.
Jan CAPLIN
ACTEUR, REALISATEUR ET METTEUR EN SCENE
En 2015, Jan réalise le court-métrage "Hippocampe", inspiré de l'histoire de Thomas Beattie, grâce à qui le film est très vite adopté par le public LGBTQ+ américain. Trois ans plus tard, son dernier court-métrage "Les Colériques Anonymes" remporte un franc succès dans plusieurs festivals internationaux, ce qui lui vaut des nombreux prix, dont celui de la meilleure réalisation.
Côté théâtre, Jan a joué dans plus de vingt pièces différentes et mis en scène trois d'entre elles. Il apparaît également à la télévision, comme dans la série "Alexandra Ehle" ou le film "La loi de Valérie".
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